Audrey CAMPOMIZZI a succédé le 15 décembre dernier à Ludivine LAUTISSIER au poste de Directrice Générale Adjointe de la Ville. Originaire de Saône-et-Loire, Audrey CAMPOMIZZI y a vécu jusqu’à ses 18 ans, âge auquel elle a commencé à suivre des études supérieures à l’Institut d’études politiques de Lille (Sciences Po) puis à l’Institut Régional d’Administration de Lyon.
Comment résumeriez-vous votre parcours en quelques lignes ?
J’ai travaillé durant 17 ans au service du Ministère de l’intérieur dont 12 années à la Préfecture de l’Isère.
Durant ces douze ans au sein de la Préfecture, j’ai d’abord occupé le poste d’adjointe au chef de bureau de la cohésion sociale. J’ai par la suite été nommée chef de cabinet puis adjointe au chef du service de l’immigration.
Je suis ensuite retournée en Saône-et-Loire pour occuper les fonctions de secrétaire générale de la sous-préfecture d’Autun pendant 5 ans.
Quelles ont été vos motivations pour accepter le poste de DGA de la Ville ?
Mes années passées au service du Ministère de l’intérieur ont été passionnantes mais j’ai eu envie de découvrir un autre horizon professionnel.
J’ai eu l’opportunité de travailler en lien étroit avec de nombreuses collectivités lors de mes précédentes fonctions, que ce soit pour les accompagner ou pour les contrôler. Cela m’a donné envie d’intégrer une collectivité et la Ville de Voiron m’a attirée par son dynamisme et l’ambition des projets qu’elle porte.
En tant que Directrice générale adjointe, je me consacrerai aux services à la population, qui constituent un enjeu essentiel pour la ville, mais également à la réglementation et à la sécurité, sujets sur lesquels j’ai beaucoup travaillé par le passé et que je retrouve avec plaisir dans un contexte différent.
La crise sanitaire a-t-elle eu une influence quant à votre prise de poste ?
La crise sanitaire est malheureusement devenue une réalité avec laquelle nous avons tous l’habitude de composer au quotidien, quelles que soient les circonstances. Les premiers contacts sont sans doute moins faciles à organiser mais j’espère réussir à rencontrer et surtout à identifier, même derrière les masques, les uns et les autres aussi rapidement que possible.